Biographie de Henri Émile Benoît Matisse
Henri Matisse (31 décembre 1869 – Le Cateau-Cambrésis, Cimiez, près de Nice, 3 novembre 1954) était un sculpteur et peintre Français.
Il est connu comme le plus remarquable fauviste Français. Ayant formé à l’École Nationale des beaux-arts dans l’atelier de Gustave Moreau (1826-1898), Henri Matisse (1869-1954) a été brièvement tenté par les théories du néo-impressionnisme. Il passa l’été de 1905 à Collioure avec Derain (1880-1954), qui était, pour lui, un « trial by fire » et la libération de la couleur. Au Salon d’automne en 1905, Matisse apparut comme le chef des Fauves. C’est alors qu’il a établi l’élément décoratif de son art dans ses œuvres peintes, aussi bien que dans ses sculptures à grande échelle. Au cours des années, le marchand et collectionneur Paul Guillaume, qui a organisé une exposition Matisse-Picasso dans sa galerie en 1918, mettent sur pied une collection de grands tableaux de 1910, avec quelques œuvres plus calme des années 1920. Sa veuve Domenica ne gardé que 10 ans, essentiellement ceux de la période de Nice du peintre (1917-1929). Une fois installée à Nice, Matisse a nouveaux motifs et un nouvel idiome à ses toiles. « Je peins des odalisques afin de peindre le nu » (1), déclarait-il en 1929 dans une conversation avec le critique et éditeur, Tériade. Il a produit plusieurs odalisques, tirant son inspiration de Ingres (1780-1867) et Chassériau (1819-1856), mais sa nouvelle orientation n’a pas été comprise par les critiques à l’époque qui, en 1927, comparés à un écran « dans un magasin de papier peint ». L’Odalisque à la culotte rouge [Odalisque avec pantalon rouge], la culotte de Odalisque à la gris [Odalisque en pantalon gris], Odalisque bleue [bleu Odalisque] et le Nu drapé étendu [couchée nue drapée] tous démontrent une mégère audace de Matisse, ainsi que son obsession pour la décoration. Les peintures dans le Musée de l’Orangerie, développer de la même manière le thème de l’intérieur (La jeune fille [jeune fille], Femmes au canapé [femmes sur un canapé] et Le boudoir). Le musée possède également quelques très beaux portraits de jeunes femmes de cette époque, Les trois sœurs [The Three Sisters], qui rappelle les peintures de la Fondation Barnes à Philadelphie, la Femme à la mandoline [femme avec mandoline] et la Femme au violon [femme avec violon].